La machine à buzz de Brooklyn sait s’alimenter. S’il a défini une patte tout à fait intéressante dès ses premières...
"The Son of Chico Dusty", le premier Lp de Big Boi, va bientôt connaitre une suite avec "Vicious Lies and Dangerous Rumors". Histoire de prendre la température on vous glisse le premier single "She Said OK" où est invité Theophilus London.
Si la rencontre parait improbable et sent la (mauvaise) poudre, le résultat est plutôt surprenant. Les Bloody Beetroots sortent de la boucherie habituelle pour s'inscrire dans une disco plus délicate (oui délicate) et ça leur réussit pas mal du tout.
Diantre qu'elle est fat cette rencontre! Sur un sample du meilleur aloi de Shirley Bassey, Theophilus et Rocky te racontent d'un air débonnaire la joie de dépenser des paquets de pognons.
Force est de constater que Brodinski remix comme on change de chemise. Mais dans les deux cas Louis le fait avec élégance. Encore un très bon remix de Brodinski en écoute.
On les savait très copains, on savait qu'ils avaient enregistrés un titre ensemble (outre "Flying Overseas" et "Century Girl") mais nous ne l'avions pas encore entendu. Le voici: "Take It Off", de la soul bouillante (originellement composée par Pharell Williams) à en décoller le papier peint.
De prime abord, interviewer Theophilus London ça n'est même plus ramer, c'est risquer la noyade : très affairé à jouer avec son iPad et à prendre en photo les cadeaux Lanvin qu'il a reçu durant la fashion week, Theo sera... absent à plusieurs reprises pendant l'entretien... Qui plus est, Mr. Londres se considère comme un artiste capital, un léger problème d'égo qui, finalement, ne rend l'interview qu'un peu plus savoureuse. Et puis d'un autre côté, comme dirait l'autre : no pain, no gain. Donc à la fin de l'interview, il y a un scoop.
Voila quelques temps que nous n'avions pas eu des nouvelles de M. Londres. En préparation de son deuxième album à paraître en 2012, Theophilus vous tease avec "Last Night" un titre de "Taio Cruz" de l'indé mais (néanmoins) excellemment produit sur le "After Light" de Rustie.