Azealia Banks semble courir sur le haricot (passez nous la virulence de l'expression) de certains ces temps-ci, surtout vis-à-vis de la "polémique" Harlem Shake mais lorsque la gamine s'en sort décemment, il est bon de le souligner. S'attaquer aux Strokes, c'est l'assurance de faire parler d'elle, le faire correctement, c'est un vrai plus. Beau boulot de la part de Lindbergh Palace, le producteur du titre qui replace le titre dans un contexte plus 2-step. C'est bien, c'est beau, c'est Banks.