Pour le quidam n'ayant jamais vraiment écouté Orelsan, le rappeur de Caen reste (à tort) gravé comme un parangon de misogynie depuis l'esclandre "Sale Pute". Et pourtant, ce matin d'octobre où nous nous rencontrons, c'est une crème de Normandie et un véritable docteur ès rap music avec qui nous nous entretenons de Fuzzati, de l'évolution du hip hop et de Caen.