C'est vrai qu'on y pensant la juke a quelque chose de la nouvelle jungle. Le 1er juillet la légende du soundsystem Congo Natty sortira un enième album (mais le premier chez Big Dada) dont le premier single a servi à Machinedrum pour explorer l'espace vacant entre la jungle et le footwork. Très bien pensé.
À l'origine le mix était destiné à Clash Magazine pour célébrer l'été indien de 2012. Allez comprendre pourquoi, il est passé à moitié inaperçu donc Machinedrum le ressort au moment propice. Dans les faits, c'est des tas de titres traitant du soleil, revu à la sauce juke. C'est chouette même lorsqu'il pleut...
Cela fait quelques temps qu'entre deux currywursts, l'américain installé à Berlin vit ses productions aux alentours de 150bpm. Et peu importe le nom de notre magazine, on continue à stalker le moindre pas de la bête.
Regardez ce qu'il nous avait caché le sacripant. Entre 2005 et 2010, Machinedrum n'a pas osé sortir quatorze remixes (dont Aaliyah, Guilty Simpson, Oh No, Theophilus London ou lui-même), parfois on le comprend (tous les remix ne sont pas faits pour exister) parfois on le trouve timide d'avoir hésité. Du Machinedrum pré-Berlin et pré-footwork qu'on avait oublié trop vite.
Si la St Valentin passée on continue à se faire chier avec ce genre de mièvreries c'est que le titre de Machinedrum en vaut le coup. Ici, le plan est simple, un sample de lover des 80's (dans le cas présent "If You Were Here Tonight" d'Alexander O'Neal, du early R&B) criblé de footwork et vous obtenez un "je t'aime" en langue juke.
Apparemment la mère Banks se serait disputé sur Twitter avec Angel Haze après que cette dernière ait sorti un titre produit par Diplo. En gros, c'est à qui est la plus new yorkaise. C'est intéréssant non ? Bref, ça sert au moins du bon titre, celui-ci est produit par Machinedrum et vous allez vous surprendre à entendre de la makina dans le sample (si si).
Le label Californien Innovative Leisure s'apprête à sortir la compilation "Oroboros" la semaine prochaine. Elle a convié Machinedrum à participer et elle a bien fait puisque nous récoltons "Whatnot" et son footwork pour somnambule. Vous remarquerez que c'est la première news concernant Machinedrum depuis des lustres où nous n'avons pas parlé de currywurst. Merci pour lui, merci pour nous.
Le climat Berlinois peut se comporter comme une vraie salope, alors par jours de grands vents, Machinedrum se cloue chez lui et grignote un currywurst en composant sur Ableton. En résulte une série de titres regroupés dans les "Ableton Session" dont ce "Sacred Frequency est le premier extrait.
Comme 89,7% de la population électronique, MachineDrum a été bouleversé lorsqu'il découvrit Boards Of Canada. Alors un jour, lorsqu'il replonge le nez dans sa collection de bootlegs du duo, il se dit que ce titre sans nom ni sortie officielle se devait d'être retapé. Un rêve d'adolescent qu'il a mis en ligne aujourd'hui.