Douze ans ça se fête (dix aussi mais ils n'avaient rien fait) alors James - qui aux dernières nouvelles était en croisière vers la Jamaïque - en bon papa du label a mis la main à la pâte et s'est fendu d'un bien joli set, gorgé de disco, evidemment. C'était dingue parait-il, on aurait adoré y être, mais l'invitation a du s'égarer.
"Incapacité à fournir certains services pour lesquels il a été payé, utilisation frauduleuse de la carte de crédit de l'entreprise et retraits non autorisés de ses comptes bancaires". Voila en substance ce pourquoi James cherche des noises à Tim qui n'aurait pas du abuser de Suze en discothèque avec les comptes de la boite.
La Boiller Room est ce monde où la déception n'est qu'un lointain souvenir. Nouveau sommet atteint avec ce set de James Murphy d'une cinquantaine de minutes.
Gros coup pour la marque Converse s'offrant trois têtes d'affiche sur le même titre, "DoYaThing" n'est pourtant pas franchement à la hauteur de ses promesses. Ceci dit, l'effet d'annonce autour de la dream team étant déjà un micro-buzz en soit, pourquoi s'emmerder à faire un beau morceau, hein?
L'ombre d'un mois d'août la radio New-Yorkaise WNYU est devenue la meilleure station du monde. Pourquoi? Parce qu'elle est parvenue à faire sortir James Murphy de sa torpeur de retraité en lui faisant cracher un mix. Et histoire de tenter un strike, elle en publiait un de Four Tet hier.