Le moins que l’on puisse dire c’est que Rashim fait dans l’efficacité. De l’épure à l’état pure en techno qui ressemble de près comme de loin à un carré noir sur fond noir. Aucune raison que ce passage chez Clone change quoi que ce soit vous me direz et vous avez raison, c’est le son de Rashad dans ce qu’il a de plus grand et vertigineux, un vrai bulldozer rasant tout tranquillement en six titres.
Et on a un avant-goût pour vous :