Bien des lunes avant Superpoze, la moitié de Souleance faisait rayonner la Normandie au delà de ses frontières. Cubes, troisième LP en deux ans pour l’un des hyper-producteurs que l’on porte dans nos cœurs, confirme un Fulgeance toujours synthétique et brillant comme du skai, toujours wonky, toujours low club, toujours aussi peu qualifiable… Dans 35 ans, sa biographie seront les mémoires d’un jeune inrangeable mais en attendant la lecture on confirme tout ça avec l’écoute de Cubes.
Et vous constaterez qu’on vous a épargné la gaudriole type Cubes, l’album d’un artiste toujours carré. RIP Raymond Devos.