L’ex rappeur de Company Flow continue son parcours hors des sentiers battus, plus engagé que jamais avec deux projets qui sortiront cet automne. La suite de « Woe To Thee O Land Whose King is a Child » l’album qu’il avait sorti avec le californien Orko Elohiem sous le nom de NMS (Nephlim Modulation Sessions) sortira le 17 octobre également sur Big Dada.
L’ex rappeur de Company Flow continue son parcours hors des sentiers battus, plus engagé que jamais avec deux projets qui sortiront cet automne. La suite de "Woe To Thee O Land Whose King is a Child" l’album qu’il avait sorti avec le californien Orko Elohiem sous le nom de NMS (Nephlim Modulation Sessions) sortira le 17 octobre également sur Big Dada. Intitulé "Imperial Letters of Protection" ce nouvel opus de 12 titres veut apporter des solutions aux problèmes soulevés dans le premier album. La critique acerbe du locataire de la Maison Blanche (notamment sur le titre "Evacuate The White House") et la phrase "The most dangerous person of all is he who does" est plus que jamais d’actualité.
Bigg Jus sortira dans la foulée un album solo entièrement produit par Dj Gman (avec qui il avait travaillé sur "Black Mamba Serums") intitulé "Poor People’s Day" dont les thèmes centraux sont l’oppression des peuples et le pouvoir des médias. Un album de 13 titres enregistrés à Atlanta qui sortira le 8 novembre sur Mush.