DANS CET ÉPISODE, LES MARQUES SONT CONFRONTÉES AU BUSINESS À GRANDE ÉCHELLE, AVEC SES AVANTAGES ET SES INCONVÉNIENTS.
Une fois la culture du street wear installée (épisode 1) et l’expansion de leur activité (épisode 2), les marques françaises sont désormais confrontées au business, le vrai, celui qui va engranger les premières dizaines ou centaines de milliers de francs (nous sommes encore dans les années 90).
Les résultats financiers, et la notoriété qui va avec, attirent autant des partenaires nouveaux et puissants, que les particularités de la production à grande échelle et à l’étranger qui plus-est.
Même si les marques s’adonnent à une concurrence, elles font en sorte que l’ensemble des acteurs grandissent à l’unisson. Cependant, le staffing, la fiscalité, la contrefaçon ou encore la trésorerie et la gestion des stocks sont alors des composantes qui viennent bousculer des fondateurs remplis d’idées mais pas formés à tout cela. Certains avouent même que ce business a pu au fil du temps, atténué les motivations et la créativité des débuts.
C’est ce que Aniès et Valyu Images nous racontent dans ce 3ème et dernier volet.
Les 3 épisodes de « Wear Is The Street ? » sont désormais disponibles sur la chaine Youtube de Mouv’.