AVEC LES CHEVEUX QU’IL A, SON GOKU AURAIT EFFECTIVEMENT BESOIN D’UN DURAG.
Isha en vantait les propriétés élastiques, notamment pour s’en servir comme cagoule de braqueur. Sur son nouveau titre, Thundercat, lui, élève le durag au rang de vêtement ultime et puissant, comme un uniforme de super – héro, pour tout beau gosse qui se respecte (il faut être reunoi pour comprendre ça). Mais le bassiste y a rajouté sa touche personnelle de fans de mangas et de jeux vidéo avec l’univers de « Dragon Ball Z ». D’ailleurs, il a déclaré avoir un tatouage du célèbre animé qui est selon les dires synonyme de vie.
A pratiquement deux mois de la sortie de son nouvel album « It Is What It Is » (3 avril) et de son passage en concert à Paris (15 avril), Thundercat nous en délivre le deuxième extrait après « Black Qualls ». Comme souvent, les textes sont loufoques sur fond d’une instrumentation funk de toute beauté. Une esthétique dans la continuité de tout ce qu’il a toujours fait, notamment pour son précédent album « Drunk » il y a 2 ans.
Les deux premières moutures de « It Is What It Is » n’ont rien de révolutionnaires mais nous assurent de ce que fait de mieux Thundercat. Et on ne s’en plaindra jamais tellement c’est joussif.
MISE A JOUR DU 27 FÉVRIER 2020 :
Le clip a été dévoilé mais il n’a que peu d’intérêt.
L’album « It Is What It Is » est toujours en précommande sur l’ensemble des plateformes.